Lorsque la grâce divine te touche…
… on finit par se prendre au jeu de la création et se croire presque à la hauteur du locataire du dessus. *Aie ! Doucement la-haut !
Petit à petit, au fil des découvertes, des phases de tests, nombreuses et variées et se terminant souvent par un crash-test, je découvre la richesse de passer par l’auto-édition. Non pas la richesse sonnante et trébuchante à laquelle vous pensez, parce que là, autant que je sème mes propres radis, j’y gagnerais cent fois plus ; mais bien la richesse de l’expérience et ses multiples dessous.
Je m’inscris dans un processus de création empirique du style « je tente et après on voit », c’est un peu comme si vous décidiez de sauter d’un avion en parachute, mais sans le parachute. Je suis la pire élève qui soit et ne comprends jamais rien aux explications des « autres ». J’ai besoin de toucher, de me planter (aie, pas dans le pied !), de me dire « Whaouh ! t’es un génie » ou « purée, tu fais que de la mer-douille en boite ! » pour me sentir en phase avec mes livres. Dépossédée de la partie création, je ne me sens plus investie dans des histoires que j’ai pourtant adorée ; elles ne m’appartiennent plus et deviennent des étrangères.
Je me concentre donc sur mes auto-édités, et peaufine autant que possible avec mes modestes moyens et mon seul neurone en activité (sur-activité devrais-je dire, car parfois il m’empêche de dormir des nuits entières !) ceux qui trôneront fièrement dans ma bibliothèque.
Après un vote à main levée (oui, oui, je vous ai vu vous là-bas au fond de la classe !), « La malédiction de la Pierre Noire » a remportée avec 4 voix le droit de rejoindre ces petits copains sur l’étagère « Romane Rose » (quoi ? C’est chelou d’avoir une étagère de la bibliothèque rien que pour moi ????).
Après une visite à la mer pour voir si elle se portait bien, si elle digérait bien toutes les cochonneries dont nous la gavons, après une radio-cardio-thoracique pour vérifier sa bonne santé (tousse discrètement pour éviter le sujet), j’ai pris la photo dominicale d’usage en vue de comparaison de son évolution (pourquoi elle bouge tout le temps ???).
Et, miracle du génie installé dans mon neurone, une photo attira mon attention et me donna une idée. Miracle de miracle, pour une fois, sans faire des recherches pendant 26 jours, 5 heures, 19 minutes et 8 secondes (le temps moyens pour trouver L’IMAGE fichée dans mon cerveau), voici que je tombe sur la représentation parfaite de mon histoire. Ni une, ni deux (c’est bon, cette fois vous avez lâché l’affaire, vous baillez et vous allez cliquer pour allez voir ailleurs ?), je m’attèle à la tache, tâtonne, tâte, palpe, chatouille les images et mon Gimp pour finalement arriver à ce résultat. J’en suis contente pour le moment, cela ne saurait durer, mais l’idée est là.
Voici donc venu le temps (de l’île aux enfants… je ne sais pas pourquoi cet air me trotte dans la tête), de vous dévoiler la prochaine couverture du prochain bouquin à sortir prochainement, pas avant le prochain mois de mars tout de même, il faut que je le peaufine (décrassage, gommage, peeling, lifting… tout le tintouin…).
On va croiser tout ce qu on peut lol…😉😉
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lol
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Intéressant…très tres intéressant…..mois de mars dis tu ??😊😊😊😊
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Oui Françoise, mois de mars 🙂 Si tout va bien.
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